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mastering pour maggy bolle et smoking kills
double session mastering aujourd’hui, pour le troisième album de maggy bolle, qu’elle défendra à la rodia le 28 mai prochain, et pour la dernière étape du master de smoking kills qui part au pressage ces prochains jours.
tomcat blake
on enregistrait hier un nouveau titre pour tomcat blake, et il va partir avec les bandes dans sa floride natale afin d’enregistrer des cuivres. il reste encore quelques guitares à enregistrer cet après-midi, et vous pourrez aller écouter ce nouveau morceau (et d’autres je suppose) live ce soir au trou au loup à morre. en attendant, on travaille sur le master de smoking kills – qui joueront ce soir à la rodia, cruel dilemme pour les amateurs de blues – et on bricole des amplis basse.
Tagués avec : besancon, blues, larodia, letrouauloup, rock, smoking kills, tomcat blake
Publié dans news
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mix smoking kills
de retour de vacances et avant d’attaquer les prises de punk’n’roll des germaniques gee strings, on mixe du blues transgénérationnel. smoking kills pourra bientôt diffuser 5 nouveaux titres sur un premier EP.
smoking kills
oui alors hier en fait il faisait vraiment très beau et du coup j’ai préféré aller me promener. j’espère que vous aussi, que vous me pardonnerez cet écart champêtre et que vous profiterez ce matin de cette jolie photo de smoking kills.
smoking kills
en attendant les prises de voix que nous commencerons en fin d’après-midi, on finit l’harmonica commencé nuitamment et on attaque les guitares lead. guitare gibson sg dans notre fameux marshall jcm800 comme son de base, tout n’est plus qu’une question de doigts et de feeling.
smoking kills
une journée placée sous le signe de la guitare pour smoking kills, même s’il n’est pas impossible que nous enregistrions de l’harmonica de manière plus ou moins nocturne. on fera des photos de ça aussi peut-être (on mettra un flash).
smoking kills
début d’une session de quatre jours avec smoking kills, groupe de blues géographiquement assez épars mais globalement plutôt en provenance de l’aire urbaine (toutefois un membre de l’orchestre a quand même un fort accent alsacien, ça brouille les pistes). Cinq titres au programme, la batterie est sur la bande, donc on attaque sereinement le reste du bazar – basse, guitares, harmonica et chant.
