on commence le quatrième jour de prise avec mathieu, comme une allégorie du monde actuel : frontière (mentale, pour la concentration) et coup d’état (psychologique), mais le résultat est d’une douceur qui nous ferait presque oublier la violence extérieure. heureusement, une partie de la classe politique est là pour nous rappeler, à grands coups de déclarations péremptoires et souvent approximatives ou mensongères, que l’envahisseur n’est pas loin, prêt à voler le pain des bons français. ici, on a très peur.