midnight karma
* c’est en cours, on vous racontera.
une journée pour celi-b, duo de chanson folk du haut-doubs, venu enregistrer une chanson d’amour pas du tout énervée (en dépit de la dernière photo). boîte à rythme 90s, guitare en bois d’arbre et piano électrique authentique, vous pourrez écouter tout ça à l’envi très prochainement (et ils sont en concert demain si ça vous chante).
quelques mois après avoir couché sur la bande une démo, papertank remettent le couvert tout en finesse et en mode duo. toujours dans l’air du temps en dépit de leur situation géographique difficile, la vulgarité proxémique (insulte à personne dépositaire de l’autorité artistique pourrions nous dire), peut être vue comme un hommage à gaspard glanz. peu de chances donc qu’ils soient invités à jouer un jour à l’élysée.
nahuel passe au studio enregistrer au saxophone ses phrases jazzy ayant vocation à être intégrées à un projet de musique latine basé en argentine : cuivre suave, piano allant, percussions incitatives, voix de velours…
un samedi productif avec les mortuaciens de monkeylong descendus en voitures allemandes sur le premier plateau (en partant du bas) pour enregistrer tambour battant une jolie reprise d’un morceau des foofighters. propre et efficace.
quoi ? une mustang dans un fender supersonic* ? pour un groupe de punk-rock ? c’est une hérésie, me diriez-vous, mais les rebel assholes, en dépit de leur nom de groupe juvénile, ont mûri, et leur prochain ep risque fort de surprendre (mais dans le sens « bonne surprise », pas comme quand éric va faire les courses pour le repas du midi). encore une journée de prise lundi pour finaliser leur oeuvre, et on attaque le mix.
* jérôme, si tu nous lis, c’est un modèle 60w.
aujourd’hui, deuxième session hivernale avec les rebel assholes, frère. au programme : de la neige car c’est l’hiver, des guitares parce que c’est du rock, et du chant lead parce qu’il en faut pour faire chanter les foules, askip*.
* comme disait black m en 2016
rigueur, concentration et opiniâtreté sont de mise aujourd’hui pour les quelques rebel assholes qui ont survécu, la basse étant tout bien considéré une affaire des plus sérieuses, et dépit des pratiques vestimentaires extravagantes de certains ex-montbéliardais précédemment moustachus, mais c’est un peu comme lorsqu’on modifie une ligne de basse : il faut voir porté.
plus de dix ans après leur dernière visite chez nous, nous accueillons en ce début d’année* les légendaires rebel assholes, qui viennent enregistrer cinq titres pour un ep à paraître début avril. 15 ans passés à sillonner le monde à la gloire du punk-rock ont fait apparaître ridules et pattes d’oie sur leurs délicats visages, mais leurs traits d’esprit n’ont rien perdu de leur fraîcheur (d’aucuns diraient qu’ils n’ont par conséquent pas gagné en maturité, et ils pourraient avoir raison, mais qui sommes-nous pour juger ?).
* bonne année tout ça
grâce à des conseils avisés* et à un équipement de haute qualité, friday vampires enregistrent aujourd’hui le chant de leur prochain (et premier) album qui devrait tabasser grave, mais moins que les crs quand même faut pas pousser.
* même si nous aussi nous sommes parfois (en toute modestie) trop subtils et trop intelligents
suite des prises pour friday vampires, qui viennent aujourd’hui enregistrer le plus bel instrument du monde*, alternant rickenbacker et jaguar bass, dans notre antique ampli marshall jmp super bass, à la fois élégant et fougueux. suite des prises dans quelques jours.
* on va voir jusqu’où je peux aller.