scions, scions, scions du bois

aujourd’hui, après les guitares et la basse musclées de the black zombie procession, et avant une petite session acoustique avec stoïc drama, il a fallu débiter le vieux pommier du jardin, couché par le poids de la neige. je ne cache pas ma profonde tristesse de voir un si bel arbre (on peut le voir ici du temps de sa splendeur) finir en morceaux, et je sais que chaque bûche issue de son vénérable tronc réchauffera mon âme plus que toute autre. adieu.

pommier

black zombie procession — basse

en provenance directe du bas-rhin, frantz vient aujourd’hui enregistrer les parties de basse sur les morceaux finis hier par sam pour le prochain black zombie procession. et aujourd’hui aussi, c’est précis et diabolique, ça va vite et ça fait peur (en dépit du faciès plutôt jovial du monsieur, et de son attitude nonchalante, détendu qu’il est, à lire sur le canapé, putain j’aurais jamais cru on peut plus se fier à personne de nos jours).
bzp18